(conte d’école buissonnière)
« Jane est une gamine de dix ans qui aime bien un garçon de l’école mais n’ose pas lui parler. Un matin, elle s’interroge sur la véracité de cette phrase dite par sa mère: «L’amour, ça se casse toujours la goule par terre!». Suite à une dispute avec ses copains, Jane la Pisteuse, à dos de vélo, part en quête de réponses. Elle rencontrera une vieille dame amoureuse, un tonton bricoleur, un lavoir abandonné, un dragon sans aile, une sirène aphone, un concombre de mer heureux. Mais trouvera-elle la réponse à sa question? »
Écrit-conté par Cécile Blaizot-Genvrin récit conçu avec les conseils de Pépito Matéo / accompagnement écriture-plateau Olivier Villanove / mise en résonances Dominique Birien /musique Élodie Fourré et Nicolas Tritschler / scénographie – Lily Wave (partenariat en cours)
[Durée envisagée] 50 à 60 minutes – [Age] Tout public à partir de 8 ans [Jauge] 60 à 80 – lieux non-dédiés ou 150 à 180 – salles équipées.
[Thèmes] L’amour, sa durabilité et sa fragilité / L’enfant qui « se sent responsable » de son parent et veut le « sauver »/ L’arrivée de la préadolescence / L’obstination de l’enfant en quête de réponses / Les trois générations de femmes, la lignée féminine.
La question de JANE: Est-ce que l’amour se casse toujours la goule par terre ?
[Forme artistique] Arts du récit et art plastique. L’interprète est l’autrice et la créatrice des œuvres plastiques. Elle réunit « Histoire & Dessins». Actuellement, trois modes narratifs s’entremêlent (récit de vie, mythologie, conte merveilleux). La musique, créée par Elodie Fourré et Nicolas Tritschler est rediffusée en direct, parfois accompagnée de chant live.
La question de CECILE : Est-ce qu’un enfant est responsable du bonheur de ses parents ?
[Forme scénique] – Seule-en-scène, la conteuse agit sur l’espace scénographique, le son et la lumière depuis l’espace scénique. La musique, composée lors du processus d’écriture est enregistrée, elle sera diffusée sur des appareils électriques – type magnétophones/enceintes – depuis la scène. Les sources lumineuses sont autonomes et manipulées à vue. Ce parti-pris vise à renforcer l’aspect « brut et originel » de l’art du conte. Tout au long du processus d’écriture scénique, la conteuse est accompagnée par un conteur-metteur en scène et une comédienne-metteuse en scène.
« Le cœur garde encore sa foi quand l’esprit est devenu incrédule. » (Amélie Bosquet, 1834)
Résidences de création – Premières représentations (prévue en 2025 – en cours de production ) Le CANA /maison des musiques de tradition orale (14), …
Résidences écriture & laboratoire-plateau (2023/24) les Ateliers Intermédiaires (Caen-14), le Moulin du Marais (Lezay- 79), L’Arbre (Cômes -14) reporté, Jumelage Drac Normandie et Lycée Agricole Dom Bosco (Giel-61)/ La Maison de Doville, Les Cruelles Truelles (50), L’Etable, Musiconte – Norrey en Auge (61)
Résidences écriture & broderie (2022/23) sur les routes : Sainte Croix sur Mer-14, Vernix-50, Beaulieu les Loches-37, Toulouse-31, / exposition à la galerie de l’Usine Utopik (Tessy/Vire), Galerie du Montparnasse (Paris 13), Galerie Théâtrale du Fil rouge (Paris 13)
Résidences de recherche (2019/20) Le Relais (Le Catelier- 76) & Le Labo (Landelles et Coupigny- 14)
Espace Pro & Contact Production Cécile Blaizot-Genvrin – 06 58 80 95 31 // Contact diffusion Virginie Bernard – 06 48 92 52 30